Saturday 11 March 2017

ESCLAVAGE, TRAITE ET COLONIALISME: CRIMES CONTRE L'HUMANITÉ (ONU-1946).

L'ESCLAVAGE, TRAITE ET COLONIALISME, crimes contre l'humanité, des concepts qui caratérisent des pratiques honteuses et humiliantes dont la majorité des peuples africaIns ont été victimes et qui sont actuellement éparpillés partout dansle monde, vivant avec les descendants de leurs violeurs aupres de qui aujourd'hui la question est posée sur la réclamation des domages pour les peines infligées aux esclaves, bien qu'incalculables, des douleurs causées a leur grands parents qui ont connu: des contraintes humiliantes, des violences, l'atteinte a la liberté et la dignité humaine, réduits en esclaves.

La convention de Geneve du 25 septembre 1946, définit l'esclavage en son premier article comme: état ou condition d'un individu sur lequel s'exercent les attributs du droit de propiété ou certains d'entre eux.­
Sont inclus, selon la convention du 7 septembre 1956, la servitude pour dettes, le servage ou une personne est tenue par la loi, la coutume ou un accord, de vivre et de travailler sur une terre appartenant a une autre personne et de fournir a cette personne, contre rémunération ou gratuitement, certains services déterminés, sans pouvoir changer sa condition.

En France, l'esclavage a été abolit en 1848, et la loi Taubira, adoptée par le Sénat en 2001, loi nùméro 2001-434 du 21 mai 2001, reconnait que la traite negriere et l'esclavage constituent un crime contre l'humanité. Le CRAN, qui est un conseil représentatif des associations des Noirs, a assigné en justice l'État francais pour demander des réparations pour l'escalvage, la traite negriere, dues aux descendants d'esclaves (Source: Association pour l'Économie Distributive).

Aux États-Unis d'Amérique, l'esclavage a été abolit en 1865, mais la réparation due aux descendants des esclaves patauge a travers la distribution des bourses d'études, promises aux Africains-Américains et les supports de financements consentis par des banques américaines tardent a imposer un changement attendu dans la vie des de ces descendants des esclaves. Donc le vrai débat n'a pas encore été adopté en vue de penser les plaies ouvertes par ces pratiques deshumanisantes pour y passer une fois pour toutes une éponge salvatrice afin de baliser un chemin de la paix durable sur lequel desormais toutes les nations du monde s'engageront de se tenir et partir vers la meme direction. Cette résolution nécessite un investissement sincere, une attitude de reconnaissance et d'humilité qui doit ouvrir un débat public qui puisse aboutir sur les principes légaux qui d'une maniere définitive, gouverneront les réparations pour l'esclavage et la traite negriere aux communautés victimes.

Au Congo Kinshasa, la Belgique continue a jouer en extincteur d'incendie apres avoir pillé ce pays en homme et en matieres premieres, un pillage suivi du premier genocide des peuples Bantu, (King Leopold's Ghost: A story of Greed, Terror and Heroism in Colonial Africa. By: Adam Hochschild. 1999).
Le deuxieme genocide étant celui causé par des armées étrangeres venues du Rwanda, d,Ouganda et du Burundi pendant la prise de pouvoir en RDC par le feu président Laurent Kabila (DRC: Mapping Human Rights Violations 1993-2003-OHCHR).
C'est un dossier qui a fait couler beaucoup d'encre. Des solutions que l'on peut appeler ''moitié-moitié'' furent initiées depuis l'époque de l'indépendance par le premier Ministre Adoula, 1961, et pour assurer une vraie distraction sur un vrai probleme qui n'est pas pret a abandonner cette société pour n'y avoir pas porté des solutions bien négociées, la Belgique joue toujours au malin, face a une génération des politiciens qui n'ont jamais eu les pieds sur le sol congolais.

Je m'envais pour cela référer mes lecteurs au dossier du contentieux Belgo-Zairois, des débats télévisés et enregistrés sur You Tube, entretenus par la Journaliste Belge Colette Braeckman, celle qui venait de publier un ouvrage sur les prouesses de Docteur Denis Mukwege, dans l'exercice de son métier qui consiste a soigner les femmes victimes des viols commis par l'armée Rwandaise dans la province du Sud-Kivu entre 1996 et 2014, par un livre qu'elle a intitulé ''L'homme qui répare les femmes'', un titre inapproprié sur base de la culture africaine, par le manque du respect du a la femme congolaise qu'elle a bien voulu chosifier en parlant de la réparation. Eh bien, laissez-moi rappeler une fois de plus qu'on répare une machine et l'on soigne une personne humaine.