EN ROUTE VERS LE COMBAT INTELLECTUEL AU CANADA.

Il a fallu du courage pour finalement prendre la décision de partir au Canada pour rejoindre l'université où je puisse passer des années à me battre contre l'ignorance qui est à la base de la misère africaine.
Certes, seule l'expérience de terrain ne suffit pas pour battir un pays plus beau q'avant, ici me référant à l'hymne national du Congo-Kinshasa ma patrie, le pays de mes ancetres tourné en champ de bataille éternel depuis son accession à l'indépendance qui lui a reconnu la souraineté intégrale.
Un dictateur qui s'en va pour laisser la chaise à un autre dans un pys où tout est permis, le lieu où des armées étrangères se battent sans rendre compte aux institutions du pays, on y entre comme on en sort, sans visa ni passeport, pourvu que l'on porte une arme sur ses épaules pour imposer sa loi du plus fort et la vie continue dans la passivité générale.

A moins d'une année du programme électoral tel que fixé par la consitution, aucune solution ne se pointe à l'horison en faveur de la réalisation de ce projet national qui aiderait à cacheter une fois pour toutes, le décollage de la démocratie que tous les citoyen(es) de ce pays attendent de vive voix devenir un jour, une réalité.

Pour la province du Sud-Kivu, 20 ans se sont déjà évaporés sans qu'un changement ne soit palpable aux yeux du paysant qui continue à porter son fardeau de misère. Les guerres s'y sont installées pour changer completement le style de vie qui a fait que tous les Sudkivuciens ont perdu la direction car desormais c'est le sauve qui peut. Le gouvernement a vite signé des arretés favorisant la création des universités sans y voir attaché aucun programme de la création de l'emploi. Qu'en pensez-vous?